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Salut a tous le monde ,
J'ai remarqué que certain insideur n'ont pas de bases d'electronique , Pour dépanner nos bon 306 , ainsi faire des modif et aussi en car audio c'est le plus important bref
Exemple jojobreak il vois pas la différence entre la résistance et les haut parleur , alors c'est quasiment rien a voir
Beaucoup ne savent pas de servire du multimetre.
C'est pourquoi je fait ce dossier
Je me présent un peu : J'ai le BAC STI electronique et je passe le BTS IRIS . donc voila pourquoi je connais un peu
PS : au modérateur , s'il vous plais , vous pouvez bloquer ce message afin que personne puissent répondre a par moi .
PS : Au insideur : S'il vous plais ne répondez pas ici , Si vous aviez des question , SI vous vouliez ajouter quelque chose , ou bien vous aviez des doute ou pas d'accord , MP ou MSN. Merci beaucoup
Sommaire :
Bases electricité :
----Le courant continue
Les composants :
----Ampoule
----Resistances
----Led
----Moteur
A suivre
Dernière édition par DURET le 07 11 2007 11:43; édité 3 fois |
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Les bases d’électricités
Avant de toucher tous qui concerne a l’électricité dans la voiture (306 héhéhé). Nous allons étudier tous les bases d’électricité afin de mieux maitriser.
Dans l’électricité, il existe deux formes de signaux, dont un en continue et l’autre en alternative :
Cliquer sur l'image pour agrandire
Les signaux alternative est réservé à la section EDF ou Electronique (composante). Mais nous allons particulièrement étudier le continue car dans la 306, elle utilise principalement le continue sauf dans certain de cas comme l’alternateur.
Courant continu :
La tension électrique (appelée souvent voltage par anglicisme) continue est une tension linéaire en fonction d'une tension de référence que l'on appelle la masse. il faut savoir qu'une tension est avant tout une différence de potentiel soit UAB = VA - VB et que UAB = - UBA.
Du coup, il n'y a pas de tension "positive ou négative" car tout dépend comment tu utilises le voltmètre.... Un montage électrique (et donc électronique) nécessite donc 2 points de connexion.
L'électronique en courant continu se caractérise par des montages passifs et actifs.
Un montage passif est constitué de résistances, de selfs et de condensateurs et n'influence que la forme du signal.
Un montage actif est constitué de transistors. Ces transistors sont actuellement assemblés pour former des circuits intégrés. Une tension sur un point d'un montage (par exemple sur la base d'un transistor) va interagir sur l'ensemble des tensions du montage
cliquer sur l'image pour agrandire
La formule de base de l'électricité, la loi d'ohm est: U = R * I
I représente l'intensité du courant exprimée en ampères
U la tension (et non le voltage) exprimée en volt
R la résistance exprimée en ohm. En courant alternatif, on parle d'impédance
Par cette formule, plus la tension sera élevée, plus le courant sera important. Par contre, une augmentation de la valeur de la résistance diminuera le courant de manière linéaire.
la puissance indiquée par le constructeur correspond à la puissance que le dipôle va consommer (ou utiliser). Cette puissance
(il faudrait davantage parler d'énergie E = P*t) va être utilisé sous différentes formes mais dans tout les cas, il y aura de
l'effet Joules (chaleur). Pour une résistance, elle sera intégralement utilisée sous cette forme. . Ma puissance, exprimée en Watt, est donnée par la formule suivante: P=V2/R ou P=I2 * R ou P=I * V
Exemple, prenons une batterie de 12 V, si la résistance est de 100 ohm, le courant qui passe dans la résistance est de I=12/100 = 0,12 ampère.
Modifié le mercredi 7 novembre
Dernière édition par DURET le 07 11 2007 11:42; édité 1 fois |
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Tiens, une bonne idée pour les novices ça :D
:bravo: |
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ha un eleve il manque plus que le prof attend je vais le chercher
bonne initiative. ecris directement au modo si tu souhaite bloquer etc... |
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Les ampoules
L'ampoule à incandescence traditionnelle, inventée en 1878 par Joseph Swan et améliorée par les travaux de Thomas Edison, produit de la lumière en portant à incandescence un filament de tungstène, le métal qui a le plus haut point de fusion (3 410 °C). À l'origine, un filament de carbone était utilisé, ce dernier en se sublimant puis en se condensant sur le verre de la lampe, opacifiait assez rapidement le verre.
En présence de dioxygène, le filament porté à haute température brûlerait instantanément, c'est la raison pour laquelle, dès l'origine, ce type de lampe a été muni d'une enveloppe de verre isolant un milieu sans dioxygène, l'ampoule, qui a donné son nom populaire au dispositif, puis par extension à tout système, protégé par une enveloppe en verre, destiné à fabriquer de la lumière à partir d'électricité.
À l'intérieur de l'ampoule, on trouve soit un gaz caractéristique du type d'ampoule : gaz rare souvent du krypton ou de l'argon; soit le vide.
Inéluctablement le filament surchauffé se vaporise et perd de la matière par sublimation, ensuite cette vapeur de métal se condense sur l'enveloppe plus froide. L'ampoule devient de plus en plus opaque et le filament devient plus fragile. Le filament finit par se rompre au bout de plusieurs centaines d'heures : 1 000 heures pour une ampoule classique, jusqu'à 8 fois plus pour certaines lampes à usage spécial.
Dans les lampes modernes, le filament de tungstène est enroulé en hélice, afin d'augmenter la longueur du filament, et donc la quantité de lumière visible.
DEL
Une diode électroluminescente (abrégée en DEL), également appelée LED de l'anglais pour light-emitting diode est un composant électronique capable d'émettre de la lumière lorsqu'il est parcouru par un courant électrique.
Une DEL produit un rayonnement monochromatique incohérent à partir d'une transformation d'énergie. Ce rayonnement possède un spectre d'émission continu. Elle fait partie de la famille des composants optoélectroniques.
Il existe plusieurs manières de classer les DEL entre elles. La première est un classement par puissance.
Les DEL de faible puissance < 1 Watt
Ce sont les plus connues du grand public car elles sont présentes dans notre quotidien depuis des années. Ce sont elles qui jouent le rôle de voyant lumineux sur les appareils électroménagers par exemple.
Les DEL de forte puissance > 1W
Souvent méconnues du grand public, elles sont pourtant en plein essor et leurs applications sont souvent ignorées : flashs de téléphones portables et même éclairage général. Le principe de fonctionnement est certes le même, mais des différences importantes existent entre les deux familles. Il en résulte qu'elles ont chacune son champ d'application propre.
Une autre manière de les classer est la nature de leur spectre. La raison de la distinction réside dans le fait que les DEL blanches peuvent servir à éclairer, ce qui est une des applications phares du futur (proche).
Les DEL de couleur : leur spectre est quasiment monochromatique puisque très fin (il a la forme d'un pic à l'analyseur de spectre).
Les DEL blanches : leur spectre est constitué de plusieurs longueurs d'ondes.
Type de Del + Tension de seuil
DEL Infra rouge : ΔV<1,63
DEL rouge : 1,63<ΔV<2,03
DEL Orange : 2,03<ΔV<2,10
DEL jaune : 2,10<ΔV<2,18
DEL vert : 2,18<ΔV<2,48
DEL bleu : 2,48<ΔV<2,76
DEL blanc : ΔV=3,5
Pour les autres del , contactez moi par MP , merci
Avantages des DEL :
-Faible à très faible consommation électrique due à un très bon rendement (quelques dizaines de milliwatts).
-Durée de vie beaucoup plus longue qu'une lampe à incandescence classique et une fin qui se déclare par une baisse de rendement progressive et non par un claquage brusque.
-Taille beaucoup plus petite que les lampes classiques. En assemblant plusieurs DEL, on peut réaliser des éclairages avec des formes novatrices.
Inconvénients des DEL :
- Désavantages propres aux DEL de forte puissance :
Le rendement lumineux est plus faible.
La durée de vie est plus faible.
Les DEL bleues ainsi que les DEL blanches contiennent un spectre bleu de forte intensité dangeureux pour la rétine si leur rayonnement entre dans le champ de vision, même périphérique. Le problème se pose par exemple avec les flashs à base de DEL. |
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Rhoooo
le relais j'avais oublié comme mesurer , mais le topic est fait par moi et corrigé par le professeur neutron . |
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Voila new chapitre : LE FAMEUX MULTIMETRE , non non c'est pas de la myster . Ni une calculatrice bizzar :
voici une illustration : ( tous les multimetre sons semblable )
[size=18]Mesurer une tension
Le point important est le suivant: une tension se mesure toujours en parallèle avec le circuit.
Si par exemple on souhaite mesurer la tension aux bornes d'un récepteur, on branche les pointes de touche en parallèle sur ce récepteur, la pointe "noire" du côté du point de référence. En cas d'erreur de polarité, si les pointes ont été interverties, un multimètre numérique affichera une valeur négative.
Pour mesurer une tension, on branche le multimètre en parallèle avec le circuit, la pointe de touche noire (COM) étant connectée au potentiel de référence.
A l'aide du rotacteur central, on sélectionne la fonction VOLT (mesure d'une tension continue), et le calibre approprié, ici 20 V.
Dans l'exemple ci-contre, on mesure une tension de 8,51 V aux bornes de la pile (on lirait 8,68 V en circuit ouvert). Si on place les pointes de touche aux points notés a et b, en respectant la polarité, on obtient une mesure de 1,64 V, correspondant à la tension de seuil de la DEL rouge. Entre les points c et d, aux bornes de la résistance, la tension lue est de 6,85 V.
La différence de 0,02 V (1,64 + 6,85 = 8,49) est due à la précision de l'appareil sur ce calibre (plus ou moins 0,08% selon la notice du fabricant).
Mesurer une intensité
Mesurer directement une intensité demeure une opération souvent difficile, parfois même impossible, car...
une intensité, à la différence d'une tension, se mesure toujours en série avec le circuit.
Si par exemple on souhaite mesurer l'intensité du courant qui traverse une résistance, on doit d'abord interrompre la branche du circuit où se trouve cette résistance, c'est-à -dire la couper, puis on connecte les pointes de touche entre ces deux points, donc en série avec la résistance.
On voit bien que la mesure du courant pose un problème délicat si, pour une raison ou une autre, il n'est pas possible de couper le circuit... Il existe heureusement une solution très simple, qui consiste à relever la tension aux bornes de la résistance. Connaissant la valeur de cette résistance, il ne reste plus qu'à appliquer la loi d'Ohm!
Deux petites remarques en passant:
De ce qui a été dit plus haut, on peut déduire que la partie "voltmètre" du multimètre doit avoir une résistance aussi grande que possible, puisque la mesure est prise en parallèle. A l'inverse, la partie "ampèremètre" doit présenter une résistance aussi petite que possible, puisque la mesure est prise en série. Il suffit, pour s'en convaincre, de calculer la résistance équivalente de deux résistances, l'une étant très grande devant l'autre, en parallèle et en série.
La mesure d'une intensité doit toujours se faire rapidement, sous peine d'endommager le multimètre. La notion de durée de la mesure est ici très importante. Se reporter à la notice du constructeur pour le délai à ne pas dépasser.
Pour mesurer un courant, le multimètre doit être connecté en série avec la branche du circuit considéré.
Par conséquent, le circuit doit être interrompu: ici, entre le + de la pile et l'anode de la DEL.
Il est important de choisir le calibre approprié ou, en cas de doute, le calibre le plus élevé. Par ailleurs, sur de nombreux appareils, il existe une borne 10 ou 20 ampères, en plus de la borne "mA".
Attention! En cas de doute sur un éventuel dépassement de la valeur maximale pouvant être mesurée par votre appareil, abstenez-vous! Et dans tous les cas, veillez à ne pas dépasser la durée préconisée par le constructeur pour la prise de mesure. Cette durée doit toujours être indiquée dans le guide de l'utilisateur.
[/size]
Mesurer une résistance
En ce qui concerne le raccordement des cordons de mesure et le choix de la sensibilité, on se reportera à la notice du constructeur. La borne "OHM" est souvent commune avec la borne "VOLTS".
Deux points sont ici essentiels:
Avec un multimètre numérique, la mesure d'une résistance doit être faite hors tension. En effet, c'est l'appareil qui applique une tension connue aux bornes de la résistance inconnue avant de procéder au calcul; la présence d'une autre tension (celle du montage) fausserait la mesure.
Il faut bien prendre garde de ne pas shunter la résistance inconnue avec les doigts, ce qui, là encore, fausserait la mesure. Au besoin, on se servira de pinces "crocodile" ou de grip-fils.
La mesure d'une résistance avec un multimètre numérique se fait hors tension, donc circuit ouvert.
La fonction "OHM" (mesure d'une résistance) étant choisie, on sélectionne le calibre approprié: ici, la valeur 2k.
On place ensuite les pointes de touche, ou mieux les grip-fils, aux bornes de la résistance.
Attention de ne pas shunter celle-ci avec les doigts, ce qui fausserait complètement la mesure!
Ajoutons que les cordons de mesure, quelle que soit leur qualité, présentent forcément une certaine résistance. Elle est en général si faible (typiquement, de l'ordre de 0,2 à 0,5 ohm) qu'on peut la négliger, sauf dans le cas particulier où on serait amené à mesurer une résistance elle-même de très faible valeur.
Enfin, il ne faut pas oublier que le multimètre, même le plus sophistiqué, est affligé d'une marge d'erreur, si minime soit-elle. Cette précision, variable selon les fonctions et les calibres, est indiquée dans la notice de l'appareil. Il faudra parfois en tenir compte.
Après usage, n'oubliez pas d'éteindre l'appareil en plaçant le commutateur central sur OFF et rangez-le dans son étui ou une housse de protection. |
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Pas mal du tout ce petit cours si vous avez des questions je peux aussi essayer d'y répondre je suis en maitrise d'électronique c'est vrai que c'est allucinant les lacunes que certains gars ont !!
Encore bravo c'est très bien fait!  |
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ICI VOUS POUVEZ POSER VOS QUESTION CONCERNANT LES COURS |
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DURET a écrit: |
Les ampoules
L'ampoule à incandescence traditionnelle, inventée en 1878 par Joseph Swan et améliorée par les travaux de Thomas Edison, produit de la lumière en portant à incandescence un filament de tungstène, le métal qui a le plus haut point de fusion (3 410 °C). À l'origine, un filament de carbone était utilisé, ce dernier en se sublimant puis en se condensant sur le verre de la lampe, opacifiait assez rapidement le verre.
[...]
Inéluctablement le filament surchauffé se vaporise et perd de la matière par sublimation, ensuite cette vapeur de métal se condense sur l'enveloppe plus froide. L'ampoule devient de plus en plus opaque et le filament devient plus fragile. . |
Il serait intéressant de préciser les avantages des ampoules à l'halogène sur les ampoules "classiques" décrites, à savoir :
- moins de projections de métal sur la paroie de verre, les particules de métal surchauffé ayant tendance à revenir sur le filament, etc ...
- meilleur rendement lumineux.
- durée de vie accrue
- etc ... |
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bravo
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